Sondage auprès des personnes candidates – élections municipales de 2025

ACO a formulé trois priorités qui devraient orienter une gestion municipale respectueuse de l’environnement

Priorité 1 – Protection et préservation de la biodiversité

La biodiversité est composée de tout ce qui est vivant ou qui contribue à la vie sur terre: les plantes, les animaux, les êtres humains, de même que l’air qu’on respire, l’eau que l’on boit et la terre qui produit notre nourriture.

L’avenir des êtres humains et des autres espèces de la Planète dépend des services vitaux essentiels que la biodiversité fournit à toutes les espèces: purification de l’eau, régulation du climat et pollinisation des cultures.

En Outaouais, la biodiversité est mise à mal notamment par l’étalement urbain galopant et par un mode de vie basé sur l’extractivisme à outrance et le gaspillage des ressources. La biodiversité a une valeur qui dépasse les besoins et exigences de l’espèce humaine.

Les humains ont cependant la responsabilité de protéger cette biodiversité dont ils dépendent, compte-tenu de leur empreinte majeure sur tout ce qui est vivant, sur toutes les espèces qui partagent la Planète avec nous. L’homme moderne s’est déconnecté de la nature et de la biodiversité. Il a adopté des habitudes de vie qui ne sont pas soutenables face aux limites de l’environnement.

ACO demande qu’un plan de protection et de rétablissement de la biodiversité dans les milieux humides et forestiers détruits soit adopté et mis en œuvre.

Priorité 2 – Réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES)

La réalité des changements climatiques fait aujourd’hui consensus et est ressentie partout sur la Planète. Il ne fait plus aucun doute qu’ils sont provoqués par les émissions de gaz à effet de serre (GES) des activités humaines. En Outaouais, cette réalité se concrétise en canicules et événements climatiques extrêmes. Elle est aussi associée aux inondations, aux feux de forêts, à l’arrivée de nouveaux pathogènes (comme la maladie de Lyme) et à des bouleversements dans l’agriculture et les sports d’hiver.

Pour lutter contre les changements climatiques, il faut donc réduire significativement les émissions de GES, ce à quoi plusieurs municipalités d’ici se sont engagées. Malheureusement, les inventaires des émissions de GES montrent que, malgré ces engagements, les émissions ont continué d’augmenter au lieu de diminuer.

ACO demande qu’un plan de décarbonation visant la carboneutralité en 2050, avec des étapes ambitieuses et réalistes, soit mis en place et vérifié régulièrement. ACO demande des plans spécifiques pour chacune des principales sources des émissions de la communauté (transports, bâtiments, industries, réservoirs naturels de GES), incluant des actions précises, associées à des objectifs de réduction documentés.

Priorité 3 – Protection et promotion de la justice environnementale

La crise environnementale actuelle découle d’un mode de vie qui n’est plus compatible avec les capacités de la Nature à se régénérer et rendre ses services. Or, l’empreinte de ce mode de vie varie considérablement d’une population à l’autre : les groupes les plus riches ayant généralement la plus grande empreinte. Ainsi, les résidents de l’Outaouais, tout comme ceux du Québec et du Canada, génèrent, en moyenne, significativement plus de GES que les autres habitants de la planète.

Trop souvent, ce sont les personnes qui contribuent le moins aux crises environnementales qui en subissent le plus les conséquences. Les personnes ayant accès aux plus grandes ressources peuvent s’en servir à la fois pour poursuivre un mode de vie dommageable pour l’environnement et pour s’adapter aux conséquences des crises que ce mode de vie provoque.

ACO considère que les personnes responsables des atteintes à l’environnement doivent adopter des pratiques respectueuses de l’environnement et assumer une part conséquente des ressources dédiées à l’action environnementale.

ACO estime que les personnes les plus vulnérables aux conséquences des crises environnementales doivent être soutenues par les municipalités et les autres paliers de gouvernement.

Dans le cadre des élections municipales 2025, Action climat Outaouais (ACO) a sondé les candidats à la mairie et à la préfecture dans la région de l’Outaouais sur trois priorités : biodiversité, climat et justice environnementale.

L’objectif d’ACO est de favoriser une discussion éclairée et respectueuse autour des enjeux écologiques. Cette démarche privilégie des réponses développées de la part des personnes candidates. Ces réponses sont alors entièrement publiées ci-dessous. Elle vise à outiller les citoyens dans leur choix électoral, tout en encourageant les candidats à formuler des propositions solides et cohérentes pour l’environnement.

Malgré un faible taux de réponse hors Gatineau, les personnes candidates ayant participé reconnaissent toutes l’importance d’agir pour l’environnement. ACO agit ici à titre d’organisme citoyen non partisan et encourage toute action environnementale, peu importe l’affiliation politique. Elle remercie toutes les personnes candidates pour leur engagement civique, et tout particulièrement ceux qui ont pris le temps de répondre au questionnaire en pleine campagne électorale.

Municipales 2025 à Gatineau : les engagements environnementaux des personnes candidates à la loupe

Les trois personnes candidates à la mairie de Gatineau ont répondu au questionnaire d’ACO.

Mario Aubé (Équipe Mario Aubé) démontre une bonne compréhension des enjeux, notamment en soulignant l’impact régional de l’étalement urbain. L’engagement de M. Aubé à protéger les milieux humides, dépolluer les sols et renaturaliser les espaces urbains est sans ambiguïtés.

Certaines réponses manquent toutefois de précision : les exemples d’écofiscalité sont hors sujet, et la valorisation des programmes d’Hydro-Québec pour la décarbonation des bâtiments semble mal informée. Sa référence à la justice environnementale se limite à ne pas « pénaliser les familles et les travailleurs ». Cependant, la justice environnementale consiste à faire porter le fardeau des mesures aux plus grands pollueurs tout en aidant les plus vulnérables. Ses propositions en transport (co-voiturage, voies réservées) favorisent l’automobile plutôt que des alternatives durables. ACO s’inquiète de l’idée de maintenir le budget de la Société des transports de l’Outaouais par des « optimisations » non définies, qui pourraient compromettre la qualité du service.

Rémi Bergeron (indépendant) affiche une volonté de contribuer aux solutions environnementales, mais ses propositions sont limitées. Il met l’accent sur des enjeux marginaux comme l’herbe à poux, et propose un co-voiturage public géré par la STO. Sa compréhension de la justice climatique reste floue, et plusieurs mesures reprises manquent de nouveauté.

Maude Marquis-Bissonnette (Action Gatineau) démontre une compréhension documentée des enjeux et s’inscrit dans la continuité de plusieurs démarches existantes. Elle propose de restaurer 30 % des milieux naturels dégradés et de développer des alternatives à l’automobile. ACO rappelle toutefois que les démarches en cours n’ont pas freiné la hausse des GES ni l’étalement urbain. Des engagements plus précis sur la décarbonation des bâtiments privés seraient souhaitables. Malgré ces réserves, ACO reconnaît l’engagement continu d’Action Gatineau.

Sommaire pour Gatineau

Par rapport aux trois priorités d’ACO, Mario Aubé et Maude Marquis-Bissonnette formulent des intentions fermes et équivalentes en termes de protection et de restauration de la biodiversité. ACO juge que les propositions de Maude Marquis-Bissonnette sur la mobilité et l’écofiscalité correspondent davantage aux attentes d’ACO en termes de climat et de justice environnementale.

Municipales 2025 : ACO élargit son analyse aux MRC et aux municipalités en croissance

Pour la première fois, Action climat Outaouais (ACO) a étendu son initiative électorale aux municipalités régionales de comté (MRC) de l’Outaouais, dans le cadre des élections municipales de 2025. Ce choix s’explique par le fait que toutes les MRC élisent désormais leur préfet au suffrage universel, et que les enjeux environnementaux dépassent les frontières municipales. ACO a également sondé les candidats à la mairie de Chelsea, Cantley et Val-des-Monts, trois municipalités confrontées à une forte croissance et à des pressions environnementales accrues.

Malgré cette ouverture, seulement trois réponses ont été reçues. ACO attribue ce faible taux de participation à des ressources limitées dans ces juridictions, où les élus se concentrent sur les opérations courantes. Cette réalité freine l’intégration des enjeux environnementaux dans les priorités locales. L’absence de réponse ne doit donc pas être interprétée comme un désengagement des enjeux environnementaux.

ACO espère que l’élection des préfets au suffrage universel pourra favoriser une meilleure appropriation des enjeux climatiques à l’échelle régionale, notamment avec les nouvelles obligations gouvernementales liées aux plans climat et aux schémas d’aménagement.

Répondants :

• Pierre Guénard, maire sortant de Chelsea, démontre une compréhension des enjeux et des outils disponibles. Il reconnaît les défis liés à l’étalement urbain et à la dépendance à l’automobile, et se positionne comme un champion de l’environnement. ACO souligne toutefois la nécessité d’un plan de décarbonation pour les bâtiments raccordés au gaz naturel.
• Pierre Bernier, candidat à la préfecture de la MRC de Papineau, comprend bien les enjeux ruraux, notamment en matière de mobilité durable. Il est ouvert à travailler sur un plan de décarbonation des transports, mais ne voit pas l’étalement urbain naissant dans l’Ouest de la MRC comme un problème.
• Jean-Pierre Landry, candidat à la préfecture de la MRC de Pontiac, fait preuve d’ouverture. Il souhaite collaborer avec l’administration régionale, soutient le développement de Transcollines et appuie la restauration des milieux naturels dégradés.

Mario Aubé

Équipe Mario Aubé veut préserver les écosystèmes naturels en intégrant la biodiversité au cœur de l’aménagement urbain. Nous assurons la protection des corridors écologiques qui respectent la réglementation et favoriserons la cohabitation harmonieuse entre développement et nature. Chaque projet devra inclure un plan vert pour limiter l’empreinte écologique et restaurer les milieux naturels.

Rémi Bergeron

La ville de Gatineau doit mettre ses inspecteurs sur la route pour faire respecter ses règlements comme la coupe des mauvaises herbes comme l’herbe à poux qui pousse dans les bandes de trottoirs et le long des routes municipales et visiter les terrains avant l’octroi des permis de constructions pour les nouveaux développements pour s’assurer que les développeurs vont minimiser les coupes et conserver le maximum de végétations dans leurs plans architecturaux. De plus, il faut modifier notre plan d’urbanisme pour exiger ses toits verts, des stationnements ornés d’arbustes pour minimiser l’effet albédo. La ville de Gatineau doit distribuer des barils de récupération d’eau de pluie pour arroser les vivaces et les jardins et utiliser l’eau de la fonte des neiges pour créer des réserves d’eau pouvant être utilisé en cas de sécheresse estivale. Il existe plusieurs bassins naturels qu’il faut endiguer en collaboration avec le ministère de l’environnement et le département de l’urbanisme pour mieux protéger certains milieux naturels et favoriser la faune et la flore.

Maude Marquis-Bissonnette

Notre objectif est de faire de Gatineau une ville résiliente, axée sur la nature. Nous voulons :

• accélérer la mise en oeuvre du Plan Climat de la ville de Gatineau
• mettre en oeuvre le plan d’action de la charte de la biodiversité, du plan des milieux humides et hydriques et du plan de foresterie urbaine
• protéger 30% des milieux terrestres et aquatiques de Gatineau
• aménager et préserver les corridors naturels
• mettre en oeuvre le plan de conservation du Lac Beauchamp

Chaque projet municipal devra être évalué à travers une lentille climat et biodiversité (test climat), pour assurer que la croissance urbaine soutienne la vie plutôt que de la fragiliser.

Mario Aubé

Équipe Mario Aubé encouragera la plantation massive d’arbres, la compensation écologique et la protection stricte des milieux humides. Ces mesures permettront de réduire significativement les émissions de GES liées à la destruction d’habitats naturels.

Rémi Bergeron

Il faut protéger la Forêt Boucher et toutes les zones contigues au parc fédéral Gatineau ainsi que les milieux forestiers longeant la rivière Gatineau et De la Lièvre. Le développement domiciliaire pour contrer la crise du logement doit être fait sur des terrains vagues et déjà déboisés en priorité et il faut freiner le déboisement et aviser les propriétaires qu’il ne sera pas de réaliser leur projet sans un plan de compensation des pertes de végétations par l’ajout de toit vert, d’aménagement paysager compensatoire le long des infrastructure routière et piétonnière.

Maude Marquis-Bissonnette

À Gatineau, nous avons beaucoup de milieux naturels d’importance. Il est important de reprendre le contrôle du développement de la ville pour qu’on puisse ainsi conserver les milieux qui sont précieux. La récente refonte de nos outils d’urbanisme (refonte des PIIA) nous apporte de nouveaux outils réglementaires afin de nous aider à y arriver.

Nous sommes conscients qu’au-delà des bénéfices sur la qualité de vie, préserver ces milieux, c’est aussi prévenir des milliers de tonnes de GES.

Mario Aubé

Équipe Mario Aubé favorisera la dépollution des sols, la revégétalisation des berges et la renaturalisation des espaces urbains dégradés. L’objectif est de redonner vie aux milieux abîmés, d’améliorer la résilience climatique et d’accroître la qualité de vie de toutes et tous.

Rémi Bergeron

Dans un premier lieu, il faut enlever toutes les mauvaises herbes du territoire comme l’herbe à poux et demander au citoyen d’entretenir la bande de 3 mètres pour assurer de réduire les îlots de chaleurs. Il faut avoir une police citoyenne de l’environnement qui place des appels au 311 pour que les inspecteurs de la ville se déplace pour aviser les propriétaires fonciers de nettoyer leur terrain et de planter des arbres et vivaces afin de minimiser l’effet albédo et les îlots de chaleur.

Maude Marquis-Bissonnette

Le plan d’action de notre PRMHH prévoit la restauration et la création d’au moins 5 milieux humides et hydriques, notamment par une étude de faisabilité d’un projet de réintroduction d’un habitat de reproduction de la rainette faux-grillon.

Notre objectif est de restaurer 30% des milieux naturels dégradés de Gatineau.

On veut aussi poursuivre le verdissement accéléré du territoire de la Ville de Gatineau. On a planté 15 000 arbres cette année, c’est un rythme qu’on doit garder.

Mario Aubé

Oui

Rémi Bergeron

Oui

Maude Marquis-Bissonnette

Oui

Mario Aubé

Depuis que le parti Action Gatineau est au pouvoir, la Ville a connu une accélération marquée de l’étalement urbain. En bloquant des projets résidentiels majeurs comme le projet Chambord ou le champ de pratique de golf sur le boulevard Maloney, l’administration d’Action Gatineau a freiné la construction de milliers de logements à Gatineau. Résultat : des familles se tournent vers Cantley, Ange-Gardien, Thurso ou Breckenridge, augmentant la congestion routière, les émissions de GES et la pression sur les infrastructures régionales.

Équipe Mario Aubé veut mettre fin à cette logique d’exclusion en favorisant un développement équilibré, durable et inclusif qui permette aux Gatinoises et Gatinois de se loger dignement dans leur propre ville.

Rémi Bergeron

La ville de Gatineau est le résultat de la fusion de 5 villes sur un territoire immense. Je propose d’instaurer un système de co voiturage publique géré par la STO style Uber pour minimiser l’utilisation de la voiture solo et pour augmenter l’efficacité de temps en transport pour les usagers du transport en commun. La densification des logements dot être fait avec parcimonie car cela implique souvent des édifices en hauteur avec beaucoup de béton et d’acier et peu d’espace vert. Les plans particuliers d’urbanisme doivent tenir compte des enjeux du manque de logement social et des conceptions des bâtiments dans le but de minimiser les impacts environnementaux. Ces deux objectifs sont souvent non compatibles pour les développeurs et c’est le rôle de la ville d’adresser la situation pour assurer un développement durable et respectueux de l’environnement.

Maude Marquis-Bissonnette

Comme administration, on doit être clair que la priorité est de bâtir la ville sur la ville. C’est mieux pour l’environnement et c’est plus efficace du point de vue des ressources. Cette orientation se reflète déjà dans le schéma d’aménagement et au cours des 16 derniers mois, on a travaillé avec les équipes municipales pour que les règlements d’urbanisme soient aussi cohérents avec cette vision.

Mario Aubé

Oui

Rémi Bergeron

Oui

Maude Marquis-Bissonnette

Oui

Mario Aubé

Oui, il est tout à fait raisonnable et cohérent pour Équipe Mario Aubé de répondre positivement « Oui » à cette question, avec nuances. Les cibles de réduction des GES et de protection de la biodiversité sont des engagements provinciaux et internationaux auxquels les villes doivent contribuer. Cela cadre avec une approche pragmatique et équilibrée : Oui aux cibles, mais avec des moyens réalistes, adaptés aux capacités locales et intégrés au développement économique.

Rémi Bergeron

Les cibles devraient être maintenus comme elles le sont présentement car une baisse est inacceptable avec l’été 2025 que nous avons connu et une hausse serait difficile à atteindre avec le climat économique mondial incertain.

Maude Marquis-Bissonnette

Je crois que ceci devrait être une priorité pour tous et pour tous les paliers de gouvernement.

Mario Aubé

Non

Rémi Bergeron

Non

Maude Marquis-Bissonnette

Oui

Mario Aubé

Oui

Rémi Bergeron

Oui

Maude Marquis-Bissonnette

Oui

Mario Aubé

Créer le Fond d’accélération des projets d’infrastructures pour financer des travaux qui génèrent des revenus ou qui soutiennent le développement durable.

Accélérer l’électrification de la flotte automobile de la ville.

Installer des bornes électriques de niveau 3-4 en bordure des grands axes routiers.

Multiplier les jardins de pluie dans tous les secteurs (parc éponges).

Faire une campagne de sensibilisation pour que chaque citoyen comprenne ce qu’il peut faire pour contribuer à l’environnement.

Mettre en place des stations de lavage d’embarcation.

Revoir le budget pour corriger les surverses (le budget prévoit 2,5M$ annuellement jusqu’en 2029 alors que les besoins sont beaucoup plus élevés).

Augmenter annuellement le nombre d’arbres plantés.

Mettre l’environnement au coeur des décisions municipales (test climat).

Rémi Bergeron

Les deux mesures actuelles ne favorisent pas la collaboration des propriétaires de commerce et les automobilistes. Je propose d’offrir des services d’autobus express qui partirait de stationnement privé en ayant des partenariat avec ceux-ci et je minimiserai le niveau de taxation pour les propriétaires si ceux-ci réaliserait des aménagement paysagers compensatoires sur leur terrain. De plus , je mettrai en place un service de co voiturage administré par la STO et les automobilistes participants se verraient réduire ou même annuler la taxe sur l’immatriculation de leur véhicule.

Maude Marquis-Bissonnette

Nous nous engageons à poursuivre les travaux du comité qui visent à identifier les meilleures mesures d’écofiscalité pour Gatineau et à les mettre en oeuvre le plus rapidement possible. Nous nous engageons aussi à compléter la refonte du fonds vert de la Ville afin de contribuer à des changements de comportements positifs pour l’environnement.

Mario Aubé

Étendre les voies réservées au covoiturage à 2 passagers.

Étudier la possibilité d’utiliser la voie d’accotement sur le boulevard des Allumettières pour ajouter une voie en site propre.

Explorer la possibilité de ramener les autobus express.

Rémi Bergeron

L’abandon du tramway beaucoup trop dispendieux et qui arrivera beaucoup trop tard. Gatineau étant principalement une ville qui vie grâce à la fonction publique fédérale, le travail à la maison est l’avenir pour minimiser les déplacements et le co voiturage grâce à des voies réservées qui seront utilisées par des autobus express à la demande répondra au objectif de rapidité pour la gestion du temps personnel et professionnel. L’ajout d’autobus électrique et de mini bus électrique est la solution car les autobus Novabus causent beaucoup de dommage à la chaussée par leur poids excessifs étant conçus pour du transport de masse en période de pointe et non pour offrir un service hors pointe comme le fait présentement la STO, ce qui crée le déficit opérationnel. La ville pourra prendre des ententes avec des propriétaires de stationnement pour brancher les mini bus électriques et offrir le service dans les quartiers à partir de chaque district électoral minimisant les kilomètres de transit actuel avec deux garages pour l’ensemble du territoire qui gonfle les émissions de gaz à effet de serre et qui dilapide les fonds publics.

Maude Marquis-Bissonnette

On mise sur un transport en commun moderne et accessible en prolongeant le Rapibus vers l’est en élargissant le transport à la demande dans les secteurs moins desservis, et bien évidemment en poursuivant les démarches pour le tramway.

On propose aussi de déployer un service de vélo-partage en partenariat avec Ottawa, d’améliorer le déneigement des trottoirs, d’augmenter les mesures de modération de vitesse dans les quartiers, de financer le plan directeur vélo pour continuer à développer notre réseau cyclable, de faciliter l’aménagement de rues écoles et de poursuivre l’aménagement de rues conviviales.

Mario Aubé

Étendre les voies réservées au covoiturage à 2 passagers.

Étudier la possibilité d’utiliser la voie d’accotement sur le boulevard des Allumettières pour ajouter une voie en site propre.

Explorer la possibilité de ramener les autobus express.

Rémi Bergeron

Offrir un meilleur service de transport en commun plus efficace et plus rapide en temps avec une offre hybride d’autobus novabus électrique et hybride, des mini bus électriques et un programme de co voiturage géré par la STO.

Maude Marquis-Bissonnette

La solution, c’est de donner des alternatives aux gens en rendant la mobilité durable plus attrayante et sécuritaire avec les idées proposées à la question 2.6.

Mario Aubé

Non

Rémi Bergeron

Oui

Maude Marquis-Bissonnette

Oui

Mario Aubé

Pour les véhicules de la ville de Gatineau oui.

Rémi Bergeron

Offrir un meilleur service de transport en commun plus efficace et plus rapide en temps avec une offre hybride d’autobus novabus électrique et hybride, des mini bus électriques et un programme de co voiturage géré par la STO.

Maude Marquis-Bissonnette

Ceci est très bien représenté dans notre plan climat et plusieurs mesures prioritaires concernent en effet le transport. Je pense que ce sont des actions importantes et qu’il faut réussir à les mettre en œuvre le plus rapidement possible.

Mario Aubé

Non

Rémi Bergeron

Oui

Maude Marquis-Bissonnette

Oui

Mario Aubé

Les programmes d’Hydro Québec sont performants pour ces mesures.

Rémi Bergeron

Ce plan devra venir des deux autres paliers de gouvernement et d’Hydro-Québec grâce à des programmes de subvention qui pourront être demandé aux différents partis lors de l’élection provinciale de 2026 et lors de la prochaine élection fédérale qui devrait survenir dans moins de 3 ans.

Maude Marquis-Bissonnette

Ceci est déjà en cours et nous nous assurerons de le mener à terme.

Mario Aubé

Nous croyons à la justice climatique, mais nous devons aussi reconnaître la réalité géographique unique de Gatineau : une ville vaste, étalée, où de nombreux citoyens n’ont pas d’alternative réelle à l’automobile. Équipe Mario Aubé veut donc miser sur des solutions équilibrées : améliorer le transport collectif, encourager le covoiturage, verdir les quartiers, soutenir l’efficacité énergétique des bâtiments et protéger les milieux naturels sans pénaliser les familles ni les travailleurs.

Rémi Bergeron

L’annulation du projet de tramway qui ne servirait que pour 25 % de Gatineau et principalement pour l’heure de pointe dans la semaine. Une justice climatique est par définition un mélange de système utilisateur-payeur comme la bourse du carbone et des systèmes de transport plus efficace avec un rapport efficacité versus montant investi et public cible, ce en quoi le projet de tramway perd beaucoup dans sa justification économique car l’ouest de la ville de Gatineau est une secteur dortoir sans grande industrie qui ferait que les gens de l’ouest se déplace vers Ottawa pour y travailler et revienne le soir et que dans le sens contraire, les Ottaviens ne viendront pas à Ottawa pour y travailler et pour retourner en Ontario le soir. Donc ce projet ne respecte pas une justice climatique.

Maude Marquis-Bissonnette

Les impacts des changements climatiques ne sont pas vécus de la même manière par tout le monde. Nos actions doivent prendre en compte ces différences. Le décloisonnement de nos actions en environnement nous permettra de nous assurer que nous pourrons soutenir les plus vulnérables et bâtir une transition juste pour l’ensemble de la communauté.

Mario Aubé

Le Fonds d’accélération des infrastructures pour le développement durable ou qui généreront des revenus est une solution majeure et innovante qui permettra, entre autre, de corriger plus rapidement les surverses.

Rémi Bergeron

L’électrification des véhicules de la STO avec des capacités différentes pour offrir les services en période de pointe et hors pointe. Planter des arbres et sauvegarder ceux existants par des mesures de protection plus rigoureuses.

Maude Marquis-Bissonnette

Nos engagements sont d’accélérer la mise en œuvre du Plan Climat, de continuer à soutenir le Partenariat Climat Outaouais, d’assurer la mise en œuvre du plan de conservation du Lac Beauchamp, de viser l’objectif de 30% de protection du territoire, de resserrer nos outils réglementaires pour y arriver, de poursuivre le verdissement accéléré du territoire de la Ville de Gatineau, d’intégrer la résilience climatique dans les projets d’aménagement, notamment avec l’ajout de parcs éponges et de réviser le Fonds vert pour financer des initiatives vertes à l’échelle des quartiers.

Pierre Guénard

La protection de la nature et de la biodiversité est une priorité essentielle pour moi. Nos forêts, rivières, milieux humides et corridors écologiques font partie intégrante de l’identité et de la qualité de vie à Chelsea.
Mes objectifs sont de protéger les milieux naturels sensibles, de renforcer la connectivité des habitats et de réduire la pression du développement sur les écosystèmes. Pour y parvenir, je souhaite :

• Mettre à jour et appliquer les règlements municipaux de protection environnementale ;
• Soutenir la conservation volontaire et les partenariats avec les organismes de protection du territoire ;
• Promouvoir la naturalisation des espaces publics et la lutte contre les espèces envahissantes ;
• Intégrer la protection de la biodiversité dans toutes les décisions d’aménagement et de planification.

Protéger la nature, c’est protéger notre avenir collectif et assurer un développement véritablement durable pour Chelsea.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

La préservation des milieux humides et forestiers est essentielle à la lutte contre les changements climatiques. Ces écosystèmes stockent le carbone, filtrent l’eau et soutiennent la biodiversité. Leur destruction entraîne des émissions importantes de GES et fragilise notre résilience collective.
Je propose de :

• Renforcer la protection réglementaire des milieux naturels dans la planification du territoire et appliquer le principe de zéro perte nette pour les milieux humides ;
• Restaurer et reboiser les zones dégradées, particulièrement dans les corridors écologiques identifiés au plan d’urbanisme, afin d’améliorer la connectivité des habitats et la séquestration du carbone ;
• Favoriser la conservation volontaire des terrains privés à haute valeur écologique par des incitatifs et partenariats ;
• Intégrer la lutte aux changements climatiques dans toutes les décisions d’aménagement et de développement.

Protéger et restaurer nos milieux naturels, c’est agir concrètement pour le climat et l’avenir de Chelsea.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

La réhabilitation des milieux naturels dégradés est essentielle pour restaurer la santé écologique de notre territoire et renforcer notre résilience climatique.
Je propose de :

• Prioriser la restauration des zones dégradées selon le plan d’urbanisme, notamment celles situées dans les corridors écologiques ;
• Poursuivre et bonifier les projets existants, comme la forêt nourricière et les plantations favorables aux pollinisateurs, afin d’enrichir la biodiversité locale et d’encourager la participation citoyenne ;
• Soutenir activement le projet d’habitat de la rainette faux-grillon, un exemple concret d’action municipale pour protéger une espèce menacée et restaurer son environnement naturel ;
• Travailler en partenariat avec les acteurs locaux ainsi qu’avec les organismes régionaux, provinciaux et nationaux, afin de mobiliser l’expertise, les ressources et le financement nécessaires à la restauration écologique ;
• Mettre en œuvre des programmes de reboisement et de naturalisation, en privilégiant les espèces indigènes adaptées à nos écosystèmes.

Réhabiliter nos milieux naturels, c’est redonner vie à nos paysages, renforcer notre patrimoine écologique et bâtir un avenir durable pour Chelsea.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Oui

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Chelsea connaît une évolution rapide, passant d’un milieu rural à une communauté en transition vers un développement plus structuré. L’étalement urbain représente un défi important pour la préservation de nos paysages, de nos milieux naturels et de notre qualité de vie.

Je propose de :

• Consolider les périmètres urbains récemment créés, afin de concentrer le développement résidentiel et commercial dans les secteurs déjà desservis en infrastructures ;
• Favoriser une densification douce et harmonieuse, respectueuse du caractère villageois et des milieux naturels avoisinants ;
• Mettre en œuvre une planification du territoire cohérente avec les orientations gouvernementales en matière d’aménagement durable et de lutte contre l’étalement urbain ;
• Renforcer la protection des zones rurales et naturelles, en limitant la fragmentation du territoire et en soutenant la conservation à long terme ;
• Encourager la mobilité active et le transport collectif, pour réduire la dépendance à l’automobile et maintenir des milieux de vie compacts et accessibles.

Gérer la croissance intelligemment, c’est préserver l’esprit de Chelsea tout en répondant aux besoins des générations futures.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Oui

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Maintenues

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Brian Nolan

Pierre Guénard

Oui

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

L’écofiscalité est un outil essentiel pour encourager des comportements durables et assurer une gestion responsable de nos ressources.

Je propose de :

• Appliquer pleinement la tarification de l’eau déjà en place, en veillant à atteindre les cibles de consommation recommandées par le gouvernement du Québec, afin d’encourager l’économie d’eau potable et d’optimiser l’utilisation des infrastructures municipales ;
• Maintenir les frais d’immatriculation dédiés au transport collectif, pour soutenir le financement d’un service essentiel à la réduction des GES et à la mobilité durable ;
• Maintenir la réduction des collectes de déchets en saison froide, une mesure efficace pour diminuer l’empreinte environnementale et optimiser les ressources municipales ;
• Explorer d’autres leviers d’écofiscalité, comme des incitatifs pour la gestion écologique des eaux pluviales, la réduction des déchets et l’efficacité énergétique des bâtiments ;
• Assurer la transparence et le réinvestissement local des revenus générés, afin que chaque mesure contribue concrètement à la durabilité et au bien-être collectif.

Ces mesures permettent de concilier équité, responsabilité et protection de l’environnement.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Chelsea a déjà accompli beaucoup pour encourager la mobilité durable, et je m’engage à poursuivre et renforcer ces efforts.

Je propose de :

• Maintenir et bonifier le plan directeur de transport actif, en améliorant les infrastructures sécuritaires pour la marche, le vélo et les sentiers récréatifs ;
• Valoriser et étendre le réseau de sentiers existant, notamment la conversion de l’ancien chemin de fer en sentier accessible été comme hiver, afin de favoriser les déplacements actifs et les loisirs de proximité ;
• Soutenir le transport collectif, en consolidant le service Transcollines à la demande et en appuyant des initiatives innovantes comme le projet Horizons Partagés, le premier service Communauto en zone rurale ;
• Encourager l’électrification de la flotte municipale et l’installation de bornes de recharge électriques, pour réduire l’empreinte carbone et favoriser l’adoption de véhicules électriques ;
• Sensibiliser et inciter les citoyens à utiliser les modes actifs et collectifs grâce à des campagnes locales et des programmes incitatifs.

Favoriser la mobilité durable, c’est améliorer la qualité de vie, protéger l’environnement et renforcer la cohésion de notre communauté.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

La réduction de la dépendance à l’automobile est directement liée au développement des transports actifs et collectifs, déjà abordé précédemment.

Pour aller plus loin, je propose de :

• Renforcer l’accessibilité et l’attractivité du transport collectif, notamment via Transcollines à la demande et le projet Horizons Partagés (Communauto en zone rurale) ;
• Développer et sécuriser davantage les infrastructures pour la marche et le vélo, incluant les sentiers récréatifs et le chemin de fer converti, utilisables été comme hiver ;
• Encourager l’électrification des véhicules municipaux et la mise en place de bornes de recharge publiques, pour réduire l’empreinte carbone tout en offrant des alternatives viables ;
• Promouvoir la planification urbaine favorisant la densification dans les périmètres urbains, réduisant les besoins de déplacements en voiture et rapprochant les services essentiels des citoyens ;
• Sensibiliser et inciter les citoyens à diversifier leurs modes de transport via des campagnes locales et des programmes incitatifs.

Ces mesures combinées permettront de diminuer la dépendance à l’automobile tout en renforçant la qualité de vie et la durabilité de Chelsea.

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Oui

Brian Nolan

[Aucune réponse reçue]

Pierre Guénard

Le secteur des transports étant la principale source de GES en Outaouais, il est essentiel pour Chelsea de réduire son empreinte carbone.

Je m’engage à appuyer et à mettre en œuvre les recommandations du plan climat actuellement en élaboration par la MRC des Collines, qui vise à réduire les GES dans la région. Concrètement, Chelsea poursuivra et renforcera les initiatives déjà en place :

• Mobilité active et collective : consolider et bonifier les infrastructures pour la marche, le vélo et les sentiers récréatifs, maintenir le service Transcollines à la demande, et appuyer des initiatives comme le projet Horizons Partagés (Communauto en zone rurale) ;
• Électrification et transition énergétique : poursuivre l’électrification progressive de la flotte municipale et soutenir l’installation de bornes de recharge publiques et résidentielles ;
• Planification et aménagement durable : favoriser la densification dans les périmètres urbains, réduire l’étalement urbain et rapprocher les services essentiels pour limiter les déplacements en voiture.

Pour assurer l’atteinte de ces objectifs, la municipalité suivra les recommandations et indicateurs de performance du plan climat de la MRC et collaborera avec les acteurs locaux, régionaux, provinciaux et nationaux afin de mobiliser expertise et ressources.

Ainsi, Chelsea contribuera concrètement à la réduction des émissions et à la transition vers une mobilité durable, en cohérence avec la démarche régionale.

Brian Nolan

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Pierre Guénard

Non

Brian Nolan

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Pierre Guénard

Brian Nolan

Pierre Guénard

Pour Chelsea, je propose de :

• Intégrer la justice climatique dans la planification municipale : évaluer l’impact des projets d’aménagement, de transport et d’infrastructures sur les populations vulnérables et les milieux naturels ;
• Favoriser l’accès équitable aux services durables : transport collectif, mobilité active, infrastructures vertes et énergies propres pour toutes les résidences et quartiers ;
• Soutenir les initiatives communautaires locales qui contribuent à la résilience climatique, comme les jardins communautaires, les programmes de réduction des GES et les projets de reboisement ;
• Collaborer avec les acteurs régionaux et provinciaux pour garantir que les politiques environnementales et les financements disponibles profitent équitablement à tous les citoyens ;
• Sensibiliser et impliquer la population dans les décisions et projets liés au climat afin de promouvoir des solutions inclusives et responsables.

Ces mesures permettront de concilier lutte contre les changements climatiques et équité sociale, pour assurer un futur durable et juste pour toutes et tous.

Brian Nolan

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Pierre Guénard

Au-delà des initiatives déjà évoquées, je m’engage à poursuivre et renforcer plusieurs mesures environnementales concrètes à Chelsea :

• Conservation volontaire : encourager et soutenir les propriétaires privés et organismes à protéger les terrains à haute valeur écologique, en complément des zones protégées déjà existantes ;
• Amélioration de la mobilité durable : continuer à développer les infrastructures sécuritaires pour la marche et le vélo, soutenir le transport collectif et le partage de véhicules, et promouvoir l’électrification de la flotte municipale et des véhicules privés ;
• Sécurité environnementale et résilience : renforcer la protection des milieux humides, forêts et corridors écologiques, tout en adaptant nos infrastructures aux changements climatiques pour améliorer la résilience face aux inondations, aux tempêtes et à l’érosion ;
• Initiatives environnementales en partenariat : collaborer avec les acteurs locaux, régionaux, provinciaux et nationaux pour mettre en œuvre des projets concrets de restauration écologique, d’éducation environnementale et de transition énergétique ;
• Sensibilisation et mobilisation citoyenne : développer des programmes et campagnes pour encourager les comportements responsables en matière de déchets, d’énergie, de mobilité et de préservation de la nature.

Ces mesures permettront de protéger la biodiversité, de réduire l’empreinte écologique de la municipalité, et de construire un territoire durable, résilient et prêt à faire face aux impacts des changements climatiques, tout en promouvant un développement équitable pour tous les citoyens de Chelsea.

Brian Nolan

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Pierre Bernier

Le rôle du préfet est essentiellement un rôle de leadership. J’assumerai ce rôle au conseil des maires en favorisant la réalisation d’un projet d’aire protégée actuellement dans les cartons et en appuyant le comité consultatif de l’aire protégée Mashkiki dans ses travaux. La réalisation d’un corridor écologique de la MRC de Papineau aux Laurentides est une autre priorité. Évidemment, travailler à l’abandon définitif du projet de mine de graphite à ciel ouvert La Loutre est essentiel.

Paul-André David

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Pierre Bernier

Je travaillerai à ce que la révision du schéma d’aménagement et de développement de la MRC porte une attention particulière à cet aspect, à ce que les suivis soient effectués et à ce que les interdictions appropriées soient maintenues.

Paul-André David

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Pierre Bernier

La MRC identifiera les milieux naturels dégradés et exercera une veille des programmes provinciaux et fédéraux qui pourraient être appliqués pour les réhabiliter.

Paul-André David

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Pierre Bernier

Non

Paul-André David

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Pierre Bernier

Paul-André David

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Pierre Bernier

Oui

Paul-André David

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Pierre Bernier

Conserver les mêmes cibles.

Paul-André David

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Pierre Bernier

Paul-André David

Pierre Bernier

Non

Paul-André David

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Pierre Bernier

Paul-André David

Pierre Bernier

Travailler avec le ministères des Transports et de la mobilité durable à accroître considérablement la convivialité de nos routes pour les cyclistes.

Paul-André David

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Pierre Bernier

Paul-André David

Pierre Bernier

Oui

Paul-André David

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Pierre Bernier

Difficile à dire quand le plan n’est pas encore développé.

Paul-André David

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Pierre Bernier

Paul-André David

Pierre Bernier

Paul-André David

Pierre Bernier

Créer un fonds pour aider les citoyens et les municipalités à adapter leurs propriétés et infrastructures aux nouvelles conditions environnementales et pour compenser les pertes ou dépenses que celles-ci engendrent.

Paul-André David

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Pierre Bernier

Évaluer l’empreinte environnementale en Amont des projets.

Paul-André David

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Il faudra d’abord que je consulte l’équipe du service de l’environnement pour valider ci qui est déjà en oeuvre ou sur le point de le devenir et d’en mesurer l’état d’avancement afin de prioriser les actions nécessaires pour une protection équitable de la nature selon les orientations que nous nous serons données en terme de développement économique et de protection de l’environnement, par exemple dans le cas d’un parc national ou d’une aire de conservation.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Assurer un suivi du respect des normes de coupe en forêt et de reboisement et développer la filière de la biomasse afin de maximiser la récupération des rédisus forestiers.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Il faudra d’abord faire l’inventaire de ces milieux et de leur état de dégradation et prioriser selon l’urgence de conséquences graves en cas d’inaction de notre part et en trouver des solutions de correction en collaboration avec notre service de l’environnement et d’experts.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Non

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

Jane Toller

Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Oui

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Dans notre cas, je crois qu’elles sont très raisonnable étant donné que nous ne sommes pas un grand producteur de GES.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

Jane Toller

Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Non

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

De poursuivre les démarches déjà en cours avec nos partenaires (TransporAction Pontiac, Transcollines, associations de transport bénévole de certaines municipalités, etc) et voir à la bonification de l’offre de services aux citoyens.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Les alternatives au transport par automobile sont très limitées étant donné l’étendue de notre territoire et la nécessité de voyager de longues distances pour le travail.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Non

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

Jane Toller

Josey Bouchard

Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

Jane Toller

Josey Bouchard

Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

Jane Toller

Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

C’est un sujet sur lequel je ne peut trop me prononcer étant donné mon manque de connaissance de notre portrait régional à ce sujet. Comme mentionné en entrée de jeu, je compte consulter les membres de nos services de l’environnement et de gestion forestière afin de pouvoir mieux répondre à la présente question ainsi qu’à toute autre préoccupation concernant l’environnement et les changements climatiques.

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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Josey Bouchard

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Jean-Pierre Landry

Bruno St-Cyr

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Jane Toller

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